Les zoulous célèbrent leur départ dans les mines de Johannesburg en Afrique du sud quittant femmes et enfants dans l'espoir d'une vie meilleure.
Dans la chaleur étouffante de la mine, à moitié nus et vêtus de peaux, les mineurs créent les premiers codes de langages rythmiques à l’aide de leurs outils.
Le temps passant, les mineurs délaissent leurs vêtements de peaux pour des pantalons et des bottes en caoutchouc et les premiers rails sont installés.
Forcés à travailler dans des conditions insalubres et inhumaines, nombre d’entre eux perdent la vie. Découvrant un corps gisant dans un cocopan (wagonnet), un des mineurs se met à crier. Il est aussitôt averti par un des siens lui rappelant qu’il est strictement interdit de parler. C’est ainsi qu’ils commencent à taper sur leurs bottes afin de pouvoir communiquer entre eux.
D’autres mineurs déportés du Malawi, Mozambique, Zimbabwe se retrouvent avec les mineurs sud-africains et échangent les différents codes rythmiques de leur langage donnant naissance à la danse des gumboots.
Au fil du temps, pendant leur temps de pause, les mineurs se retrouvent pour partager une bière en chantant et en dansant tous ensemble.
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